Données

Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (23-29 décembre 2020)

Dans la bande de Gaza, le nombre de cas actifs de Covid-19 s'élève à 10 740 (augmentation par rapport à la semaine précédente), et le taux de résultats de tests positifs est de 31%. En Judée-Samarie, le nombre de cas actifs est de 10 556 (une légère baisse par rapport à la semaine dernière), et le taux de résultats de tests positifs est de 21%. L'étendue réelle de l'infection est probablement plus élevée que les chiffres rapportés par les ministères de la santé à Gaza et à Ramallah. Des vaccins devraient arriver à l'Autorité Palestinienne en provenance de Russie en Janvier 2021.
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Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (16-22 décembre 2020)

Par rapport à la semaine dernière, dans la bande de Gaza, le nombre de cas actifs de Covid-19 est passé à 9 574 et le pourcentage de résultats de tests positifs est de 23,8%; en Judée-Samarie, le nombre de cas actifs de Covid-19 a légèrement diminué à 13 379 et le pourcentage de résultats de tests positifs est de 25,6%. Cependant, selon toute probabilité, l'étendue totale de l'infection est plus élevée que les chiffres rendus publics par les ministères de la santé de Gaza et de Ramallah.
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Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (9-15 décembre 2020)

Dans la bande de Gaza, le nombre de cas actifs de Covid-19 signalés par le ministère de la Santé est de 8 723. Cependant, le nombre réel est apparemment plus élevé (pour des raisons telles que le faible nombre de tests administrés). En Judée-Samarie, l'augmentation du nombre de cas actifs se poursuit et s'élève actuellement à 14 696. Alors que dans la bande de Gaza, l'administration du Hamas a réussi à maintenir le calme des résidents locaux, en Judée-Samarie, des critiques à l'égard de l'Autorité Palestinienne (AP) ont été exprimées, principalement à Hébron, où de violents affrontements ont été signalés entre les forces de sécurité qui sont entrées dans le ville (en coordination avec Israël) et des membres du clan al-Ja'abari.
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Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (2-8 décembre 2020)

Dans la bande de Gaza et en Judée-Samarie, le nombre de cas actifs de Covid-19 continue d'augmenter fortement. Au 8 décembre 2020, il y avait 10 091 cas actif à Gaza et 14 894 en Judée-Samarie. Ce sont les chiffres minimum, car les chiffres réels semblent beaucoup plus élevés. Le pourcentage de résultats de tests positifs à Gaza est passé à 38%, tandis qu'en Judée-Samarie, il oscille entre 20% et 30%.
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Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (25 novembre – 1er décembre 2020)

Dans la bande de Gaza et en Judée-Samarie, le nombre de patients atteints du Corona continue d'augmenter. Leur nombre dans la bande de Gaza s'élève maintenant à 9 627 patients actifs et en Judée-Samarie à 11 692 patients actifs. Alors que le Hamas préfère continuer avec des mesures préventives "spécifiques" et régionales, l'Autorité Palestinienne a annoncé qu'un confinement complet sera imposé ce week-end, comme elle l'a fait le week-end dernier. Jusqu'à présent, il semble que le Hamas et l'Autorité Palestinienne soient inefficaces, notamment en raison des violations généralisées perpétrées par les populations locales.
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Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (18-24 novembre 2020)

Dans la bande de Gaza, la forte augmentation des cas de Covid-19 se poursuit. Au 24 novembre 2020, le nombre de cas actifs s'élevait à 6499, aggravant la situation dans les hôpitaux, qui ont annoncé qu'ils avaient fermé des cliniques ambulatoires, annulé les chirurgies électives et n'effectueraient que des opérations d'urgence. Gaza signale également une pénurie de matériel médical. Néanmoins, les Gazaouites ne suivent toujours pas les directives sanitaires. Au 24 novembre 2020, sur les 2576 tests administrés, 24,85% des résultats étaient positifs. En Judée-Samarie également, la forte augmentation des cas de Covid-19 se poursuit, avec 7 843 cas actifs.
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Données

Un long et sanguinaire conflit se déroule entre Israël et les organisations terroristes palestiniennes. Ce combat s’exprime principalement par les attentats terroristes, qui ont fait jusqu’ici de nombreuses victimes. Il est difficile de savoir exactement à quel moment les terroristes ont commencé à commettre des attentats contre Israël. Cependant, il est possible de dire que la Guerre des Six Jours a été un tournant après lequel les organisations terroristes palestiniennes se sont renforcées et les attentats terroristes ont pris de l’ampleur en Israël et à l’extérieur contre des cibles israéliennes et juives.
Dans les années 1970, les attentats terroristes étaient principalement des détournements d’avion, effectués par des terroristes du Front. Après les évènements de Septembre noir (1970), les principaux attentats terroristes ont été commis à l’étranger par des terroristes du Fatah (sous le nom de Septembre noir), le principal étant l’attentat contre la délégation israélienne aux Jeux olympiques de Munich. De même, des attentats terroristes ont été commis depuis la frontière (attentats de la frontière jordanienne jusqu’en 1970 puis attentats de la frontière libanaise), une partie visant des cibles civiles. Dans les années 1990, les attentats suicide sont devenus la méthode de combat principale des organisations terroristes palestiniennes, au départ par des organisations islamiques radicales dont le Hamas, suivies par les organisations laïques qui ont également commis des attentats terroristes. 
Une hausse conséquence des attentats suicide a été notée durant le combat terroriste palestinien (l’Intifada al-Aqsa, 2000-2005) durant lequel de nombreux attentats terroristes ont été commis, notamment des attentats suicide qui ont perturbé la vie en Israël et ont menacé les principales villes.
La diminution des attentats terroristes a débuté après l’Opération Plomb Durci et s’est confirmée avec la construction de segments de la barrière de sécurité.